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La démarche de Valérie Anceaume Gutierrez 

De toutes les formes d’art auxquelles elle s’est adonnée, Valérie privilégie aujourd’hui la peinture … sans pour autant délaisser le modelage. Il y a beaucoup de cohérence dans ces deux expressions artistiques : on y retrouve ses personnages, tantôt nostalgiques, tantôt joyeux, au gré de ses ressentis. On y retrouve sa palette de couleurs si particulières, liée aux matériaux qu’elle emploie : peintures, pigments, encres…et à sa volonté d’un résultat le plus mat et brut possible 

Elle aime aussi peindre des paysages.

Elle écrit : « Peindre, c’est suggérer, évoquer et raconter…

Peindre, c’est gratter pour donner à voir…

Peindre, c’est arroser la couleur pour la voir grandir, s’estomper, s’évader... »

Quand elle se met à son chevalet, elle se laisse porter par ses pinceaux et ses émotions. La toile s’invente peu à peu comme un jeu de hasard avec la couleur et la matière qui se rencontrent, se superposent, pour trouver un équilibre et aboutir au final à des portraits ou des lieux, sans doute inscrits au plus profond d’elle-même.  C’est dans son inconscient aussi qu’elle trouve les gestes qui se mettront au service de sa création. Sa technique est donc un mélange d’inné et d’acquis et elle aime délibérément provoquer ou se laisser surprendre par « les accidents » qui émaillent les étapes de création de sa toile. Elle n’hésite pas non   plus à la recouvrir par endroit pour un nouveau départ.

Valérie conçoit l’art comme un partage et dit que « ses tableaux ne sont pas ses tableaux…

Ses tableaux appartiennent à ceux qui, un jour, vont les adopter les aimer… »

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