Olivier Suire Verley a été enveloppé dès l’enfance « dans un cocon d’art et de musique ». Son père Claude Suire et son grand-père Louis Suire, tous les deux peintres, l’ont initié à la peinture et à la musique.  Ils ont partagé avec lui leurs valeurs et leurs visions de la lumière rhétaise. Olivier a son atelier aux Portes-en-Ré, proche de la maison achetée en 1929 par son grand -père, tombé sous le charme de cette île encore sauvage, comme le fut ensuite son père. 

 

L’île de Ré est la muse de ces trois générations de peintres. Ils y ont peint ensemble se critiquant mutuellement de manière constructive. 

Depuis, Olivier quitte parfois son île, son carnet de croquis à la main, pour chercher sous d’autres cieux, autrement colorés, autrement habités de foules en mouvement et d’ambiances, l’inspiration qui nourrit son art.

De nombreuses galeries exposent ses œuvres : Aux États-Unis : Cape Cod, Atlanta, Naples ; au Japon : Tokyo, Osaka, Hiroshima ; en Chine : Canton ; Singapour, en Europe : Barcelone, et Paris, Lyon, Nantes, Belle Isle, La Baule…

 

Olivier nous parle de son parcours 

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Artiste ouvert et généreux, Olivier établit des ponts avec d’autres peintres, mais aussi avec des artistes dans d’autres domaines :

•  La littérature : Avec son ami Bernard Giraudeau, acteur et écrivain, ils ont publié le livre «Ailleurs». Une nouvelle édition préfacée par Sara Giraudeau vient de paraitre, les bénéfices sont versés au « Fonds Bernard Giraudeau ». Puis un livre monographique « Olivier Suire Verley » dont les textes sont de Gérard Hernandez. Dans le livre « Toiles de Mer » il partagera ses émotions «Atlantique » avec Allain Bougrain-Dubourg qui en a écrit le texte

• Le cinéma : Le réalisateur Jean Becker a fait appel à lui pour peindre les tableaux des films : « Élisa » ou il était la doublure « peintre » de Gérard Depardieu.

         Pour « Dialogue avec mon jardinier », il réalisa une vingtaine de toiles, doublant la main de Daniel Auteuil.