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« Je peins au Vésinet, dans mon atelier ouvert sur le jardin, un lieu de quiétude, dans un face à face joyeux avec mes toiles. L’atelier est une grande pièce avec une large table centrale qui accueille mes tubes de peinture, mes pinceaux, mon fourbi ! Les murs qui m’entourent reçoivent mes œuvres, jamais vraiment achevées car j’aime y revenir par petites touches. Mes cinq chevalets en bois sont consacrés aux toiles sur lesquelles je travaille par alternance pour que l’huile sèche. Cette pièce n’est pas un lieu de travail car peindre pour moi est un plaisir, une respiration douce où les heures s’estompent sur l’espace de mes toiles. »

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Les sources d’inspiration de Florence sont variées et spontanées. 

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Ainsi la “messe en temps de confinement” célébrée le dimanche 3 mai sur le clocher de l’église Saint-Sauveur à l’Île-d'Yeu lui a offert une vue inspirante et poétique. “Et voici le vieux clocher gris qui lance dans le vent les heures, et veille seule sur nos demeures comme un berger sur ses brebis” comme s’extasiait le poète vendéen A.Plateau.

 

Florence a traduit cette image et ces mots sur sa toile. Offerte à la paroisse, celle-ci a fait l’objet d’une mise aux enchères… qui se sont envolées. 

L’île d’Yeu vue de son clocher –

Tableau de Florence Pourchet d’Aboville 

Florence dans son atelier .jpg
La démarche de Florence Pourchet d'Aboville
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